Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/03/2011

Belle situation

Comme je l’avais dit dans l’article précédent, je me suis rendu au Théâtre du Port assister à une représentation de Monsieur One et monsieur Two. Des textes bien choisis de Jean-Michel RIBES (extraits notamment de Palace, et de Théâtre sans animaux).

Je vous livre trois photos qui montrent le cachet particulier de ce petit théâtre (49 places, en se serrant bien).

Illustre-Ca et la-Belle situation-Théâre du Port-01.jpeg

L’accueil se fait à l’extérieur, sous les arcades de la place île de beauté, face au port de Nice.

Illustre-Ca et la-Belle situation-Théâre du Port-02.JPG

Cette salle propose des séances à 21h00 mais aussi à 19h00. C’est un créneau horaire qui vaut le coup d’être tenté. En effet, si le vendredi les spectateurs semblent bouder cette formule, le samedi ainsi que le dimanche montrent une très bonne fréquentation car, une fois le spectacle terminé, ce quartier offre de nombreuses occasions de prolonger la soirée.

Illustre-Ca et la-Belle situation-Théâre du Port-03.JPG

04/03/2011

Régalons-nous

Le vendredi 11 mars, à 21h00
au théâtre de la Tour Gorbella
dans le cadre du festival FEMMES EN SCENE

Nina des Oursins un tour en chansons ! (création)

Écrit et interprété par Marie-Pierre FOESSEL
direction artistique : Thierry DARDANELLO
création lumière : Michaël CREUSY
avec l'aide de Vanessa D'AYRAL de SERIGNAC

Une production de la compagnie de la Hulotte.

Illustre-Régalons-nous-Nina des oursins-01.JPG

Un tour en chansons plein de pep's ! Nina des Oursins se déchaîne et se grime pour vous dévoiler son univers (en)chanté. Menteuse professionnelle et vilaine écrivaine d'histoires à lui faire pousser le nez, chanteuse éberluée, ensorceleuse et charmeuse de serpent, parfois prise de schizophrénie, Nina se prend pour le vent et souffle sur les mots qui s'agitent. Entrez dans la danse avec délice, venez écouter des histoires qui vous réveilleront les papilles et vous titilleront les oreilles !

Réservations : 04 92 07 86 50

Cette année le festival Femmes en Scène reversera une partie de ses bénéfices à l'association Soroptimist International.
Le Soroptimist International fondé en 1921 est une organisation mondiale de femmes engagées dans la vie professionnelle existant dans 126 pays avec plus de 95 000 membres. Il œuvre à l’édification d’un monde meilleur pour les femmes et les filles tant sur le plan local, national et international.

Vous pouvez écouter un extrait du spectacle en cliquant ICI .

Pour écouter d’autres œuvres de cette artiste, cliquez LA .

Biographie de Marie-Pierre FOESSEL, extraite de myspace :
1999/2003 : avec le Corou de Berra (chants et musique du monde), concerts et enregistrements en France mais aussi à l’étranger. Durant cette période, elle a partagé la scène avec des artistes comme : Benat Achiary, Misia, Jacky Micaelli , A filetta...et enregistré trois CD dont Miedjou qui a reçu la mention « choc » du Monde de la musique. 2004/2006 : elle a dirigé des ensembles de chant polyphonique traditionnel. Elle a été programmée en première partie d'un concert de Luccila Galeazzi. 2008 à auj : elle est régulièrement sollicitée par le chœur de l’opéra de Nice et elle obtient des rôles dans des pièces lyriques et des spectacles musicaux de variétés. Elle a reçu un prix de comédie musicale au concours international de chant du théâtre de l’Odéon à Marseille. En 2010, elle a créé « l'Ô à la bouche, loop-poésie pour deux voix » avec David Amar (de Sashird Lao), spectacle mis en scène par Philippe Lecomte (de la compagnie Voix Public). Chanteuse, auteur et compositeur, elle fait partie de l'équipe artistique de la compagnie de la Hulotte (06). En 2010, avec David Amar, elle a écrit « Le gardeur de troupeau » (d'après l'œuvre de Fernando Pessoa) et en mars 2011, lors du festival « Femmes en scène » à Nice, au théâtre de la Tour, elle interprètera pour la première fois un répertoire de compositions originales : « Nina des Oursins, un tour en chansons ».

 

 

Mais dès ce week-end, vous pourrez vous rendre au Théâtre de la Cité, assister à Carré de dames.
De Richard CAIRASCHI
Avec Aurélie PÉGLION

C’est la troisième fois que j’annonce ce spectacle, on va croire que je touche un pourcentage ! Je pense tout simplement que c’est une pièce agréable interprétée par une bonne comédienne (cliquez ICI pour relire l’article).

Théâtre de la cité
15, rue Paganini à Nice
Les vendredi 4 mars et samedi 5 mars à 21h00
et le dimanche 6 mars à 15h00
Tarif : 20 euros — Réduit : 16 Euros
Réservation : 04.93.16.82.69

 

 

Quant à moi, je pense que ce week-end, je vais aller au Théâtre du Port assister à une représentation de
Monsieur One et Monsieur Two

entrer des mots clefs

Je ne sais pratiquement rien de ce spectacle, mais j’aime bien Jean-Michel RIBES, et j’ai déjà vu jouer Stéphane KHEDIM.

Le communiqué nous annonce : « Deux personnages décalés et un festival de situations délirantes, absurdes, burlesques et folles où le rire règne en maître !
D'après les pièces courtes et facétieuses de Jean-Michel RIBES, Stéphane KHEDIM nous livre une drôle de comédie… »

Auteur : Stéphane KHEDIM d'après Jean-Michel RIBES
Avec : Stéphane KHEDIM et Jacky BOSQUE

Au Théâtre du port ( ~ 49 places)
5, place Île de Beauté à Nice
Les vendredi 4, samedi 5 et dimanche 6 mars à 19h00 (ça laisse le temps d’aller dîner en ville !)
Tarif : 12 euros
Réservation : 06 62 58 55 05

01/03/2011

Stagiaire

Le blog de Luce COLMANT (en lien colonne de gauche), met en ligne toutes les photos prises durant le stage auquel j’ai participé. Je n’en reproduirai ici que cinq.

Nous étions cinq apprentis, réunis autour de Luce, deux fois huit heures, les samedi 19 et dimanche 20 février, au théâtre de la Semeuse.

C’est un rythme de travail qui me convient bien, mais qui est plus rude pour l’enseignant, qui est réellement à fond. Notamment avec la direction d’acteur, qui réclame une énergie et une attention de tous les instants.

Encore bravo à Luce qui a su nous faire travailler pour progresser en se faisant plaisir.

luce colmant, stage, photo

 

luce colmant, stage, photo

luce colmant,stage,photo

luce colmant,stage,photo

luce colmant,stage,photo

 

 

luce colmant,stage,photo

24/02/2011

Je suis claqué

Pour cette 5ème répétition, nous commençons à entrer dans les détails. La mise en scène étant globalement en place, on travaille presque réplique par réplique.
Dès la deuxième répétition est apparue une difficulté que j’avais prévu : la claque.
Mon personnage s’en prend neuf à lui tout seul (je les ai comptées) ! S’il s’était agi de coups de poing dans la mâchoire, on aurait trouvé un procédé, mais pour une claque, on ne truque pas, ce n’est pas la peine.
Et c’est là qu’est la difficulté : pas pour moi, qui reçois ces soufflets, mais pour celle qui les donne. En effet, c’est toujours très gênant pour quelqu’un de distribuer des baffes lorsqu’on ne l’a jamais fait, alors que les recevoir ne pose aucun problème particulier.
Mais justement, pour donner de bonnes claques bien sonores qui ne font pas mal, il faut être détendu et décidé. C’est lorsqu’on est nerveux que l’on fait mal, lorsque la main est rigide, lorsque le bras ne fait pas un seul geste ample, lorsque la gène vous fait manquer la joue d’un ou deux centimètres trop haut ou bien lorsque ce sont vos ongles et non votre main qui touchent le partenaire.

entrer des mots clefs

Il a donc fallu qu’Audrey TORJMAN s’accoutume à ce geste, s’habitue à cette sensation bizarre. Ça sert aussi à cela, les répétitions.
Le comédien qui reçoit lui, ne doit pas anticiper, mais il doit tout de même laisser sa tête se détourner et accompagner le mouvement : non seulement le coup sera moins rude, mais cela donnera un meilleur effet visuel.

entrer des mots clefs

Alfred est-il content ? En tout cas, il est en forme

18/02/2011

Le jeu de la vérité

Nous n’avons pas répété mardi 15 dernier, la salle n’était pas disponible ; c’est un petit tracas que rencontrent parfois ceux qui n’ont pas un local bien à eux.
A la place, je reviens sur un sujet que j’évoquais il y a quelques mois : la question du vrai au théâtre (cliquez ICI pour relire l’article). Je soulignais entre autre que chaque spectateur normalement constitué sait que tout ce qu’il verra durant le spectacle est faux, même s’il a devant lui le meilleur comédien du monde dans une mise en scène hyper réaliste.
Toutefois, cette remarque ne doit pas être la porte ouverte au n’importe quoi. En effet, si la réalité et le naturel ne sont pas les buts ultimes du théâtre, beaucoup de metteurs en scène restent exigeants sur la justesse des émotions ou de l’intonation, par souci de cohérence.
La cohérence est plus indispensable que le vrai au théâtre. Le plus improbable des personnages peut être très crédible, s’il réagit d’une façon juste par rapport à ce que l’on sait déjà de lui.
Je citerai un exemple qui m’a déjà servi ailleurs : vers la fin des Fourberies de Scapin, alors que le dénouement devient carrément invraisemblable, MOLIÈRE en rajoute une couche en faisant dire à Hyacinte : « Ô Ciel ! que d'aventures extraordinaires ! » Il n’est pas nécessaire que la comédienne qui joue le rôle ait l’air vraiment convaincue qu’il s’agit d’une aventure extraordinaire (ce n’est pas obligé, mais ce n’est pas interdit non plus) elle peut employer un ton ironique, montrer une explosion de joie ou danser et chanter… du moment que le public, qui a eu le temps de faire connaissance avec ce personnage, se dise « sacrée Hyacinte… » ou bien que cela aille dans le sens de la tonalité générale (façon Commedia dell’Arte, univers clownesque, intermède musical, comédie bourgeoise…). En revanche, si le metteur en scène demande à la comédienne de jouer, mettons, la folie douce, elle doit le faire à fond, "pour de vrai", que cela soit plausible ou non.

vérité,cohérence,alexandrin,molière

 Restons en compagnie de MOLIÈRE et prenons comme deuxième exemple cet alexandrin extrait du Tartuffe : « La curiosité qui vous presse est bien forte » (Orgon, scène 2, acte II)
Les alexandrins sont, faut-il le rappeler, des vers de 12 pieds. Or, les auteurs se permettent parfois de petites entorses à cette métrique : certains vers ne comportent que 11 syllabes, mais l’une d’entre elle est décomposée en deux. C’est une convention mise en place depuis fort longtemps et acceptée même par les plus classiques. Elle peut s’appliquer à des mots contenant le son « YEU » par exemple, comme « curieux » qui se prononce d’ordinaire en deux syllabes KU — RYEU mais qui, en cas de besoin, comptera pour trois syllabes : KU — RI — EU.
Et c’est là l’origine d’un vaste débat (exagéré à mon sens). Il y a les partisans du "naturel" à tout prix, et qui recommandent donc de prononcer chaque mots comme dans la vie de tous les jours, et tant pis pour la métrique ; puis ceux qui s’attachent au rythme, à la musicalité ou parfois à la tradition, et qui souhaitent que chaque pied soit conservé, quitte à ce que certains mots soient prononcés d’une façon inhabituelle.
Dans notre exemple, nous avons donc le choix de dire (Je n’utilise pas ici l’écriture phonétique employée par les dictionnaires, car cela me paraît encore plus compliqué) :
« LA — KU — RI — O — ZI —TÉ — KI — VOUS — PRÈSS — È — BIEN — FORTE » (12 pieds)
ou bien :
« LA — KU — RYO — ZI —TÉ — KI — VOUS — PRÈSS — È — BIEN — FORTE » (11 pieds).
Les deux partis auront raison… à la condition d’être cohérent avec le reste du spectacle.
Si vous choisissez de toujours prononcer les 12 pieds, vous n’êtes ni plus ni moins vrai qu’un autre, simplement, vous voulez peut-être donner de l’importance à l’esthétique de la pièce, à la musicalité du texte, voire de montrer que ce ne sont que des personnages fictifs qui n’existent que le temps d’une représentation.

vérité,cohérence,alexandrin,molière

 Je réalise à peine maintenant que j’ai commencé par le mot « vérité » et que je termine par une gravure représentant Tartuffe ! Pouf ! Pouf !

10/02/2011

De Sophocle à Cairaschi, vastes horizons…

Après la Maison pour Tous de Contes et le Théâtre de la Tours à Nice, c’est le Théâtre Francis Gag, dans le Vieux-Nice, qui accueillera Carré de Dames ; une comédie en quatre actes écrite par Richard CAIRASCHI et interprétée par Aurélie PÉGLION.
Le communiqué de presse nous informe qu’il s’agit de « quatre histoires de Femmes à quatre époques différentes, de la vie à la fin de la vie : comment ont-elles vécu 14, 39, 68 ou 2012…? »

cairaschi,sophocle,debi debo,tragédie

cairaschi,sophocle,debi debo,tragédie

Richard CAIRASCHI, qui signe également la mise en scène, est venu à l’écriture de ce spectacle presque par hasard. En effet, on connaît ses débuts avec Noëlle PERNA au Bar des Oiseaux, la Cie Debi-Debo, puis surtout sa série de spectacles humoristiques — presque des ones-man-show — fortement teintés de Nissart, dont la fameuse trilogie des Chaises de la Prom’ en duo avec Martine PUJOL.
Mais il y a un an et demi, une association de la vallée du Paillon qui organise un festival autours du chant choral, avait pris pour thème de leur festival « les femmes ». Ils ont commandé à Richard un texte qui raconterait la vie d'une femme d'ici, que devait justement interpréter Aurélie, pour une unique représentation avec cette chorale, deux musiciens et des solistes. Leur collaboration fut un déclic, et Richard CAIRASCHI a eu envie d'écrire d'autres "tranches de vie"… c’est ainsi que naquit Carré de Dames.
Au sujet de ces quatre femmes qu’il fait vivre, il confie : « Je les ai toutes les quatre aimées, je les connais, je les aime toujours. »

cairaschi,sophocle,debi debo,tragédie

L’accompagnement musical est assuré par Thomas GARCIA, compagnon d’Aurélie PÉGLION à la ville, et surtout musicien émérite sur la scène. Souvent, l’environnement sonore n’est pas la clef de voûte du spectacle, mais il reste un élément à part entière, auquel on ne prête pas toujours attention et qui a pourtant son importance, même si cela ne saute pas aux yeux… enfin, aux oreilles.

La seule petite remarque que je me permettrai de faire ici concerne le rythme de la pièce, directement lié à sa structure en quatre actes (en quatre femmes !) et dont l’un pourrait être raccourci, l’ensemble me paraissant trop régulier.

cairaschi,sophocle,debi debo,tragédie

Théâtre Francis Gag — Vieux-Nice
Réservations au 04 93 91 84 18
Durée : 1h20 ~
Je n’ai pas trouvé le tarif…?

 

 

Pour ceux qui peuvent se rendre à Saint-Laurent-du-Var, Electre, de SOPHOCLE, est à l’affiche au Théâtre Georges Brassens ce week-end les vendredi 11 et samedi 12 à 20h30.
Plutôt avare d’information, le communiqué nous précise simplement le nom des artistes, réunis sous l’appellation de « Théâtre du TAC ».
Je ne connais pas cette compagnie, mais je connais un peu plus SOPHOCLE, et j’aurais bien aimé voir ce que l’on peut faire aujourd’hui avec un tel texte, écrit par un grec il a près de 25 siècles.

cairaschi,sophocle,debi debo,tragédie

ESCHYLE, SOPHOCLE et EURIPIDE, les trois grands tragédiens grecs dont on a pu retrouver quelques œuvres, ont chacun écrit une « Électre », personnage de la mythologie faisant partie de la famille des Atrides.
Les tragédies de la Grèce antique obéissaient à des règles de composition qui, si elles évoluaient peu à peu, restaient tout de même très codifiées. L’Electre de SOPHOCLE est par exemple structurée de la façon suivante :
Prologue / Parodos / Épisode 1 / Stasimon 1 / Épisode 2 / Stasimon 2 / Épisode 3 / Stasimon 3 / Exodos.
Le prologue, on l’aura deviné, expose la situation ; dans le parodos et les stasimons, c’est le Chœur qui s’exprime, soit directement vers le public, soit vers un des protagonistes (ce procédé est arrivé jusqu’à nous aujourd’hui sous la forme de personnages divers et variés : bonnes, servantes, valets, confident, personnages secondaires, fantômes et autres animaux, qui eux aussi sont là pour mettre le public au parfum) ; enfin, les différents personnages parlent et agissent durant les épisodes, l’exodos contenant la conclusion (le plus souvent la mort, dans une tragédie).
Si un des lecteurs de ce blog avait la bonne idée d’assister à ce spectacle, son compte-rendu serait le bienvenu ici !

Théâtre Georges Brassens
222, Esplanade du Levant
Saint-Laurent-du-Var
Accueil téléphonique (de 13h30 à 17h00 du lundi au vendredi) 04 92 12 40 64
Tarif : 11 € - Réduit 7 €

 

 

Pour terminer cette série d’annonces : Hôtel du Nord est à l’affiche du Théâtre de la Tour.
cairaschi,sophocle,arletty,tragédieC’est une pièce qui "tourne" depuis un an environs et à laquelle j’ai déjà consacré un article (cliquez ICI pour le relire).
C’est également ce week-end, les vendredi 11 et samedi 12 février à 21h00, le dimanche 13 à 15h00.

Tarif : 15 €uros – réduit : 10 €uros
Réservation conseillée au 04 92 07 86 50

08/02/2011

Paresseux

Je viens de me rendre compte, à l’issue de notre quatrième répétition, combien je suis paresseux !
En effet, nous répétons une pièce dans laquelle j’ai déjà joué, mais dont la mise en scène sera différente, du fait notamment de la grande dimension du plateau.

Illustre-Affiche-01.jpgAu lieu de profiter de l’aubaine et de donner à ALFRED mille propositions de jeu, j’ai traîné les pieds et tenté de revenir sans cesse à l’ancienne mise en scène.

Confortablement installé dans mon ronron douillet, je voulais juste profiter d’une recette facile parce que déjà utilisée !
Je me promets de ne plus agir ainsi et de tout bousculer lorsque j’en aurai l’occasion.