03/09/2012
MÊME LES CONS ONT DROIT AU BONHEUR
Non, ce n'est pas un essai philosophique, c'est tout simplement le titre du prochain spectacle d'Alfred, dont la première a lieu demain, mardi 4 septembre, au Théâtre du Cours, à 20h00.
Alfred joue le rôle d'une femme, exécutive woman qui dirige une grande entreprise et qui, par manque de temps, a décidé de se faire faire un enfant par un de ses employés.
Malheureusement pour elle, l'homme qu'elle a selectionné (interprété par-moi-même !) est aussi bête qu'empoté.
Acceptera-t-il la proposition ? Qu'obtiendra-t-il en échange ?
Le titre, ainsi que le visuel de l'affiche, vous indiqueront tout de suite qu'il s'agit là d'une comédie, destinée à faire travailler les zygomatiques.
Je recommande souvent de ne pas trop abuser de ces "machines à rire", mais je n'en interdis pas non plus la fréquentation. C'est une question de dosage.
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16/11/2010
Bis repetita
C’est une piqûre de rappel pour vous signaler que Cirque à Deux est l’affiche au Théâtre de l’Impasse.
J’ai évoqué récemment cette comédie de Barry CREYTON, adaptée par Michèle LAROQUE et Jean-Michel RIBES (cliquez ICI pour relire l’article).
Je vous recommande cette pièce qui a le talent de divertir en finesse (malgré ce que laisse supposer la photo !).
Jusqu’au 28 novembre 2010
les vendredis et samedis à 20h30, les dimanches à 17h00
Et même le 31 décembre, à 21h00 !
(Soirée Réveillon de la Saint-Sylvestre)
THÉÂTRE DE L’IMPASSE
Rue de la Tour, à Nice
04 93 16 17 51 / 06 84 35 62 77
Plein tarif 15 € / réduit 12 €
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23/06/2008
Quelques nuits plus tard...
22 jours sans le moindre article, plus de trois semaines d’interruption : je suis tout simplement en train de jouer dans une comédie, « le Coursier », au Théâtre du Cours à Nice.
Dans les jours qui précèdent la première, on enchaîne généralement les dernières répétitions avec les premières représentations, ce qui a accaparé beaucoup de mes soirées (j’ai un job qui m’occupe la journée).
Mais si je joue encore les jeudi 26, vendredi 27 et samedi 28 juin (à 21h00), me voilà de nouveau plus disponible pour ce blog qui a déjà passé plus de deux ans d’existence.
Je n’ai même pas fêté cela, pas plus que la première année d’existence d’ailleurs, mais je vous promets une petite rétrospective nostalgique, comme tout le monde, avec statistique et tout et tout…
Je vous l’avais annoncé lors de l’article précédent, je suis allé à Carros voir « l’Affaire est dans le sac », interprétée par la Comédie des Baous.
C’est une comédie dite de boulevard, c'est-à-dire « qui n’a pas d’autre prétention que celle de nous faire rire », pour citer ce journaliste anonyme fustigé par un Pierre DESPROGE fort justement indigné. Car c’est déjà une sacrée prétention ! Dur métier que de faire rire un public. La comédie de boulevard utilise pour cela des procédés déjà éprouvés : quiproquo (très nombreux dans cette pièce) ; situations ; jeux de mots ; répliques assassines — on « dénonce » qui une personnalité politique, qui un système, ou un événement (dans notre cas, le jeu électoral) ; et parfois même apartés avec le public. Ce dernier moyen, qui n’est pas employé dans cette pièce, est fort controversé dans le milieu du théâtre. D’un côté, nous avons ceux qui affirment que le théâtre est une chose magique, où les spectateurs ne peuvent en aucun cas entrer en contact avec les artistes qui évoluent sur la scène, sous peine de faire imploser les personnages, protagonistes imaginaires qui ne peuvent donc pas nous croiser et nous connaître ; de l’autre côté, nous trouvons ceux qui pensent que le fameux quatrième mur peut être franchi lors de moments opportuns, afin que public ait un instant l’impression d’être du même côté de la scène et rêver ainsi davantage. (Même lorsqu’il n’y a pas de décor du tout, on parle de « quatrième mur ». C’est comme s’il y avait un mur au fond, deux murs sur les côtés et, donc, un quatrième mur dressé entre la scène et les gradins, barrière invisible mais pourtant véritable.)
« L’Affaire est dans le sac » est donc un spectacle assez classique, qui rempli parfaitement son rôle difficile d’amuseur tout public.
Cette pièce présente sept personnages. C’est un détail qui a son importance car cela signifie qu’elle n’est pas à la portée de toutes les compagnies. En effet, pour le metteur en scène, la difficulté croît de façon exponentielle selon le nombre de comédiens. Disons que jusqu’à quatre, cela reste gérable. Au-delà, il lui faudra une grande habitude et des talents d’organisateur.
Lorsqu’il s’agit de compagnies professionnelles, c'est-à-dire uniquement composées d’Intermittents du Spectacle, ce n’est pas une difficulté : on répète pendant la journée, les comédiens n’ayant "que ça" à faire, chacun doit se débrouiller pour être présent à chaque séance de travail.
Mais lorsqu’il s’agit de troupes amateurs — comprenez "composées d’artistes qui ont chacun leur vie professionnelle et qui ne peuvent répéter que lorsqu’ils ont une soirée libre" — c’est une autre paire de manches.
La Comédie des Baous appartient à cette dernière catégorie. Les sept comédiens qui la composent ne peuvent répéter que le mardi. Ce rythme assez lent ne leur permet que de produire une pièce chaque année.
Car l’un d’entre eux m’a confié qu’ils s'agissait de leur dixième production — toutes des comédies. Tous les sept sont d’anciens parents d’élèves qui se sont rencontrés lors d’un spectacle de fin d’année : plutôt que ce soit les élèves seuls qui produisent quelque chose, ils avaient alors décidé qu’eux aussi pouvaient monter un spectacle ; ils y ont pris goût et ils continuent encore aujourd’hui.
La compagnie a également la grande particularité de toujours reverser les recettes à un organisme caritatif. Toujours associé à une cause humanitaire, leur travail est par conséquent toujours diffusé devant plusieurs centaines de spectateurs, recrutés là par un réseau différent des circuits traditionnels (magasine spécialisé dans les spectacles comme JV ou l’Officiel des Loisirs…, publicité et affiches, bouche-à-oreille, abonnement, festival etc.) ils ont ainsi l’assurance que leur effort continu tout au long de l’année ne sera jamais vain et que l’association avec laquelle ils collaborent drainera un public toujours nombreux.
Leur structure associative est très peu subventionnée : seule la mairie de Saint-Jeannet leur octroie chaque année la somme de 300 €uros. De plus, ils ne disposent pas vraiment de local dédié au travail de scène, ni pour stocker les costumes et accessoires, ni pour répéter ! Le plus étonnant étant qu’aucun d’entre eux n’a jamais suivi de cours d’art dramatique. Car malgré cette faiblesse de moyens, la Comédie des Baous s’en sort plutôt bien.
Alors : c’est vrai que, plus d’une fois pendant le spectacle, on se dit que les comédiens sont de qualité inégale, que certaines scènes mériteraient d’être retravaillées, et qu’après tout le spectateur n’a pas à se préoccuper de savoir si cette compagnie dispose de ressources réduites. Il est venu là pour rire ou pour pleurer, se divertir, réfléchir ou encore se cultiver. Donc, le spectacle présenté au public ce soir-là mériterait quelques retouches. Et pourtant…
On a ri. Tous. Environ 250 personnes. Pas facile. Essayez, pour voir…
De plus, la mise en scène, certes classique, est précise, sans aucune erreur visible. Tout fonctionne bien : les entrées et les sorties, les déplacements, l’occupation de l’espace. L’éclairage est un peu quelconque, sous-employé, et une direction d’acteur aurait parfois été nécessaire mais cela ne gène pas vraiment la dynamique de la pièce. J’ai été stupéfait d’entendre que c’est quasiment seuls qu’ils sont parvenus à ce résultat, engrangeant de l’expérience année après année. Seuls quelques conseils, prodigués de-ci de-là par des professionnels arrivés là par hasard, ont complété leur science toute neuve.
Au delà de la représentation elle-même, je constate que, partant de rien, sans aucun savoir de la chose théâtrale, certains sont capables de retrouver quelques-uns des codes qui nous servent à communiquer sur une scène. Des choses aussi simples que de parler pour la personne la plus éloignée dans l’espace ou de rester toujours visible du public ne sont pas évidentes une fois sur la scène. L’emploi des accessoires, les variations de rythme, ralentir son débit de parole pour pouvoir être bien compris, enchaîner en cas d’incident… Tout cela n’est pas acquis naturellement. Et pourtant, ils y sont parvenus, tout seul.
La création s'appuit-elle sur une série de réflex, communs à tous les hommes? L’homme porte-t-il en lui cette faculté de s’exprimer en groupe, tous de la même façon ? Créer, grâce aux expériences acquises, en regardant le travail des autres ; reprendre à son compte puis faire de nouvelles associations...
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16/09/2007
« A l’affiche »
Je n’ai pas trop l’habitude de proposer sous cette rubrique des spectacles dont je ne connais ni le metteur en scène, ni les comédiens ni le texte ; mais après tout, n’ai-je pas dit ici qu’il fallait parfois prendre des risques et avoir plus de curiosité ?
C’est ainsi qu’au cours d’une soirée, je rencontrais Stéphane KHÉDIM, personnel soignant le jour et comédien la nuit (et surtout quand il peut, comme beaucoup d’autres). Il fait donc partie de cette famille des comédiens qui ont à la fois un travail qui les nourris et une passion qui les dévore. L’autre famille étant, bien entendu, celle des artistes Intermittents du Spectacle ; mais ceux-ci ont déjà eu plusieurs interviews qui leur ont été consacrés. Aussi, pour conserver un juste équilibre, j’espère pouvoir, à l’issue d’une représentation, poser quelques questions à ce jeune homme.
De plus, c’est une occasion de découvrir le « Village », un lieu relativement récent (3 ans environs), 51 rue Clément Roassal à Nice. Ce Théâtre possède au moins une particularité : outre le fait qu’il est plutôt en longueur, sa régie — et donc le régisseur — se trouve sur le côté de la scène, et non pas au fond de la salle comme c’est le cas la plupart du temps.
Voici donc le communiqué de ce spectacle, ainsi que l’affiche.
« Ce Prof est un idéaliste. Son père était un paysan qui lui avait dit : " Toi, tu ne seras pas un cul terreux, tu seras professeur ! Professeur, c'est le plus beau métier du monde, comme la terre il fait germer. "
Ce Prof est un homme brisé qui n'a pas supporté la violence du milieu scolaire, reflet de notre société déchirée.
Ce Prof est un héros moderne qui nous fait rire et quelquefois peur.
Par quel mystère ce Prof se retrouve t-il seul, face au public sur une scène du théâtre pour raconter son histoire ?
Stéphane KHÉDIM est régulièrement à l’affiche dans les théâtres de notre région. Il interprète brillamment et se met en scène pour « Prof ! » qui est une nouvelle version de « L’ enseigneur », le gros succès de Jean-Pierre DOPAGNE.
« Prof ! » Une comédie à déguster en première classe les 21 et 22 septembre 2007 à 20H30 et le 23 Septembre 2007 à 15H00 au théâtre le village, 51 Rue Clément Roassal à NICE. »
Réservation : 04 93 82 42 41 (du mardi au samedi de 14H30 à 19H00)
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21/03/2007
S.O.S.
Lors d’un récent repas pris en famille, j’ai dû subir les attaques de toute la tablée :
« Alors Luc, quand est-ce qu’on te voit dans une autre comédie ?
- Eh bien, après « les Femmes Savantes », je vais jouer dans une pièce de FASSBINDER, « Gouttes dans l’Océan », c’est un très beau drame qui est …
Et là on m’a coupé la parole : Ah mais alors c’est pas une comédie – Ah mais alors on rie pas ! Ah mais alors ça va être "prise de tête" - Ah moi si on rigole pas je viens pas… etc. Combien de temps encore devrais-je entendre qu’un spectacle, s’il ne fait pas rire, est forcément difficile à comprendre et ennuyeux. Les choses douloureuses, les choses d’apparence complexe, les choses graves n’engendrent pas forcément des spectacles rébarbatifs et incompréhensibles bon sang !
Au secours ! Tous ceux qui pensent que la Culture ne peut pas être monochrome, répétez-le autour de vous : que l’on cesse d’imaginer que les pièces de Jean-Paul SARTRE sont des casse-tête pour intello ! Cela n’a rien à voir. Chacun d’entre nous, quels que soient son éducation et ses goûts, peut aller voir ce genre de spectacle. Il ne s’agira pas pour lui d’aller se creuser la cervelle ou perdre son temps, il s’agira pour lui de recevoir ce qu’on lui donne avec sincérité et amour ; et même de participer à une grande et belle cérémonie : celle de la communication collective. Excusez du peu !
Je suis peut-être le plus petit comédien du monde, mais j’ai l’immense prétention de penser que chaque chose de moi que je lance sur scène finira bien un jour par porter ses fruits. Attention, je ne suis pas naïf : un spectateur un peu trop économe qui irait voir « l’Avare » de MOLIÈRE n’en ressortirait pas moins avare ! Bien sûr que non. Mais, tout ce qu’on lâche lors d’une représentation finit tôt ou tard chez l’un ou l’autre des spectateurs, d’une façon imprévisible. IMPRÉVISIBLE mais POSITIVE.
« Combien de gens ne sont abstraits que pour paraître profonds » disait… je ne sais plus qui. Et l’art en général est victime de ces usurpateurs, qui ont rendu le public méfiant. Il y a, parmi les liens proposés sur la colonne de gauche, celui du blog de Christian, qui nous raconte la vie à la campagne, avec ses ânes. Et bien, ce blog est donc monotone et triste ? Il ne faut pas aller le visiter ? On risque de s’y ennuyer ? Il ne se passe jamais rien dans les collines désertées par les hommes ? J’ai eu la chance d’être invité à passer une journée "la haut" avec ces ânes. Là-bas, pas de centre commercial, pas de bar, de pub, pas de plage ni de rue animée ; pas la peine d’emporter de l’argent. La photo qui orne le papier peint de mon PC représente mon fils guidant une des ânesses sur un chemin caillouteux. Le bonheur qui se lit sur son visage est sans égal, un bonheur différent.
Allez donc voir des pièces de ANOUILH, FASSBINDER, IONESCO ou SARTRE et goûtez enfin des moments différents.
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11/12/2006
Comment les départager ?
L’un pense que le comique s’apprécie avant tout sur la durée de la pièce, qu’il n’est pas forcément synonyme de rire tonitruant toutes les six secondes. Pour lui, la finesse prime, pour un résultat dans la durée.
L’autre répond que si le public vient voir une comédie, c’est parce qu’il a envie de rigoler, de se faire du bien en riant du début à la fin du spectacle. Et pour ça, tous les moyens sont bons.
L’un s’appelle Henri MASINI, il dirige le Théâtre du Cours depuis ses débuts. Depuis le commencement, il monte des comédies et ça lui plait.
L’autre s’appelle Alfred, et j’ai déjà parlé de lui sur ce blog – pour (re)lire l’article, cliquez ICI. Il a écrit des pièces comiques qui ont bien marchées, il a fait du one-man-show pendant des années et il ne regrette rien.
Les voilà qui travaillent ensemble depuis bientôt trois saisons. Je crois qu’ils s’apprécient, s’estiment ; mais, sur certains sujets, ils ne seront jamais d’accord, c’est sûr.
Ce que dit Henri semble juste : le spectateur peut éprouver autant de plaisir à sourire plutôt qu’à s’esclaffer. La proximité de la scène permet de jouer d’une façon plus naturelle, plus juste. Le public est sensible à cela. Le spectateur lambda n’est pas un imbécile, il aime découvrir les finesses d’une pièce.
Ce que dit Alfred n’est pas moins vrai : un gag à chaque phrase, une tonne d’effets, de situations… si le public se tord les côtes, il ne l’oubliera pas de sitôt. Faire rire n’est pas un art mineur.
Pourra-t-on jamais les départager ? (Les réunir, ça, c’est déjà fait !)
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Bientôt, la suite de l’interview d’Emmanuelle LORRE.
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22/09/2006
Aujourd’hui, honneur au One-Man-Show
Cette facette du Spectacle Vivant est rarement abordée ici. Je comble donc cette lacune en présentant ici un spectacle écrit et conçu par ALFRED.
Cet humoriste a commencé sa carrière dans un autre registre, puisqu’il était guitariste blues-rock dans un groupe qui a écumé les scènes de la région.
Trois albums plus tard, il arrête et se lance dans la carrière – difficile – d’auteur et d’interprète comique. Il écrit, beaucoup. Plusieurs de ses créations sont montées avec succès par d’autres compagnies.
Et il joue, beaucoup là aussi. Au fil des ans, il acquier une solide expérience du one-man-show. Seul face au public, il paufine soir après soir ses sketchs, ses « bombes » comme il le dit lui-même. Ses tournées l’emmènent, à travers la France, sur les grandes scènes comme sur les petites. Et c’est justement dans ces petits lieux de représentations aussi divers qu’étonnants qu’ALFRED a récolté les anecdotes les plus drôles et les plus incroyables. J’espère bien qu’un jour, j’arriverai à lui en faire raconter quelques unes pour les lecteurs de ce blog, cela vaut le détour…
En attendant ce jour de grâce, il nous propose un spectacle d’environs une heure et demi : « C’est Pas Correct ! ». Ce spectacle reprend quelques-uns uns de ses anciens sketchs, mais aussi des nouveaux. Il est vrai que le temps permet de donner plus d’aisance et d’efficacité à chaque texte, et ce sont bien les premiers qui restent les plus drôles, les nouveautés ayant encore besoin de mise au point. Mais c’est surtout lorsqu’il s’adresse directement au public qu’il reste le plus drôle.
Seulement 4 représentations à Nice, les vendredi 22 et samedi 23 septembre, puis la semaine suivante les 29 et 30 septembre, toujours à 21h00.
Ce sera au café-théâtre « le Teocali », 16, rue Benoît Bunico, dans le Vieux-Nice.
Pour réserver, il faut appeler au 04 93 62 91 18 ou au 06 60 91 39 68.
Plus loin de nous, mais tout aussi drôle, les « Bonimenteurs » seront à la fin du mois dans le Var et les Bouches-du-Rhône. J’ai déjà eu l’occasion de parler d’eux lors d’un article en juin. Pour le (re)lire, cliquez ICI.
LES BONIMENTEURS
" Tous les soirs un même spectacle... mais totalement différent ! "
De et par : Jean-Marc Michelangeli & Didier Landucci / collaboration artistique : Carlo Boso
Le samedi 30 septembre 2006 : Salle des fêtes de Coudoux - Coudoux
13111 Coudoux
à 20h30
Sans réservation
Le dimanche 1er octobre 2006 : Espace Robert Manuel - Les Issambres
RN 98 - La Pinéde - 83380 Les Issambres
à 17h00
Réservations : 04 94 19 59 55
Le vendredi 13 octobre 2006 : Salle Sainte Victoire - Ventabren
Le Plateau de Ventabren - 13122
à 21h00
Réservations : 04 42 28 92 86
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