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31/08/2012

LES MONOLOGUES DE L'ILLUSTRE THÉÂTRE

Le vendredi 06 avril de cette année, le théâtre de la Semeuse avait accueilli la pièce d’Eve ENSLER, les Monologues du Vagin.
Alors, qu’est-ce qui me prend d’en parler seulement aujourd’hui, cinq mois plus tard ?

C’est parce que les droits de ce spectacle ne se négocient pas de façon habituelle. D’ordinaire, la plupart des auteurs sont inscrit à la S.A.C.D. qui est l’organisme chargé de gérer les droits d’auteur : Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. (Il en existe d’autres, mais la S.A.C.D. est le principal.)
Par droit, il faut comprendre « rémunération », mais aussi « droit moral », afin que l’auteur garde une certaine maîtrise sur le devenir de son œuvre.
Pour que l’organisme gestionnaire des droits donne son aval, il faut expliquer qui va faire quoi, où et quand. En temps normal, vous recevez la réponse au bout de 6 à 8 semaines (l’autorisation peut parfois vous être refusée, une compagnie ayant négocié l’exclusivité des droits durant une période sur un territoire donné). Mais bon, rien de bien complexe.

Pour ces Monologues, l’auteur a des exigences beaucoup plus précises :
● les comédiens engagés dans ce spectacle ne doivent pas être rémunérés, qu’ils soient pros ou amateurs.
● Les fonds récoltés seront entièrement reversés à une association luttant contre les violences faites aux femmes.
● Les représentations ne peuvent avoir lieu qu’à certaines dates précises.

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Aline DI MAGGIO, de la Semeuse, m’avait confié qu’il leur avait fallu plus de cinq mois pour boucler le dossier !
Voilà qui avait piqué ma curiosité et, le 20/02/2012, j’ai essayé de joindre la personne chargée de gérer ces droits si particuliers. J’ai patiemment attendu une réponse, me doutant bien qu'elle devait être très occupée (les Monologues du Vagin se jouent dans le monde entier depuis dix ans).
Las, je crois qu’il ne me sert plus à rien d’attendre encore, et c’est la raison pour laquelle j’ai tant tardé pour vous parler de cette particularité du monde du théâtre.

21/08/2012

GRANDE POINTURE

Voici une annonce de stage pour adulte, avant d’attaquer la rentrée.

A la rencontre de son clown…

au Théâtre Belle Cour - 14, rue Trachel à Nice
les Vendredi 24, Samedi 25 et Dimanche 26 août 2012
Renseignements au 04.93.87.08.86

Aller à la rencontre de son clown signifie « aller vers » le clown qui est en vous. Pour ce faire, un temps de préparation est nécessaire, il s’agira de se rendre disponible, de se préparer à cette rencontre en confiance, avec l’appui et la connivence d’un ou d'une partenaire et l’écoute et la curiosité du groupe.
· Relaxation, jeux collectifs et exercices seront les préalables d’un travail mené en duos, en connivence et en bienveillance.
· A partir du fil précieux de l’enfance, chacun, chacune fera naître son clown avec un tempérament, une force, une fragilité, une poésie qui seront siennes.
· Second objectif : faire se rencontrer les clowns et créer des duos. Chaque duo élaborera un récit imaginaire qui sera mis en jeu en interaction avec le groupe-public.

Conditions d’inscriptions : à partir de 18 ans
Nombre de participants : 12 maximum
Prix du stage : 120 € + droit d'entrée 25€ (assurance+membre)
Déroulement des trois journées : 18 heures
(Prévoir une tenue souple, des ballerines et un nez rouge !)

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Matinées de 10H00 à 13H00
. Relaxation et training
. J1 - Recherche individuelle : « aller vers » son clown
. J2 - Recherche en connivence : les duos
. J3 - Mise en jeu des récits

Pause déjeuner

Après-midi de 14 H00 à 17H00
. J1 - Recherche individuelle « aller vers son clown »
Rencontres des clowns : improvisations thématiques
. J2 - Le clown et son acolyte
. J3 - Mise en jeu des récits
Chaque soir : retours, impressions de la journée

Formatrice : Gwénaëlle Laure
Comédienne et metteur en scène, formée au Cours Simon à Paris. Sa pédagogie découle de la diversité de ses expériences et de ses rencontres professionnelles : elle s’est exercée à l’improvisation, base du jeu de l’acteur, avec Philippe Naud à l’AIT - Atelier International de Théâtre, dirigé par Blanche Salant et Paul Waever. Elle a travaillé le jeu de l’acteur avec : Jean-Paul Denizon, pédagogue et comédien de la troupe de Peter Brook, puis avec les professeurs du GITIS de Moscou, disciples de l’Ecole de Stanislawski ; une rencontre avec Claire Heggen du Théâtre du Mouvement a stimulé sa recherche sur le « corps-instrument ». Sur son chemin d’artiste elle a abordé le jeu spécifique du clown avec le comédien Jean-Luc Launay. Plus récemment, elle a fait l’expérience de « la voix chantée » avec les spécialistes du Roy Hart.
Diplômée d’état de l’enseignement artistique, Gwénaëlle Laure enseigne l’art dramatique au Conservatoire de Saint Laurent du Var depuis 2007.
Au sujet de son travail dans ce conservatoire, (re)lire l'article que j'avais consacré à l'un de ses spectacles en cliquant ICI.

14/08/2012

MES VACANCES À MOI, SÉTOIS.

Nous étions à Sète il y a 10 jours. J’ai découvert une ville très agréable, parcourue par quelques canaux avec de belles bâtisses et un bon restaurant.
En flânant l’après midi, nous sommes allés voir l’exposition Dans les pas de Jean Vilar. En effet, le créateur du festival d’Avignon est né (et mort) dans cette commune.
Le travail nécessaire à la collecte des différents éléments (photos, vidéo et même meubles…) ainsi qu’à leur présentation est tout à fait louable. Toutefois, il n’y avait rien de vraiment nouveau à apprendre sur Jean VILAR : son enfance modeste, sa rencontre avec Charles DULLIN, ses débuts de carrière prometteurs et enfin son festival — celui d’Avignon — et l’aventure du TNP…

sète,jean vilar

Le hasard a fait que l’heure précédente, nous venions d’assister à quelques joutes nautiques, sport picaresque et bon enfant pratiqué dans beaucoup de villes du bord de mer : deux adversaires s’affrontent, chacun devant faire tomber l’autre à l’eau, à l’aide d’une longue hampe, en le poussant hors de sa petite plateforme hissée sur une barque. Je n’avais jamais pris le temps de m’arrêter pour regarder ce genre de manifestation.
Et que ne me dit-on pas, au début de la visite de l’exposition ? Que Jean VILAR lui-même, "monté" à Paris, aurait emporté avec lui les souvenirs colorés de ces joutes nautiques… et que cela aurait eu une grande influence dans ses choix esthétiques au théâtre.
Si la coïncidence est amusante, je n’ai, pour l’instant, trouvé aucune témoignage en faveur d’une muse Sétoise ayant l’apparence d’une barque. Si parmi les lecteurs de ce blog il s’en trouvait pour me confirmer (ou infirmer) cette anecdote, qu’il n’hésite pas à se manifester.
En attendant, je retourne à ma sieste ensoleillée…

10/08/2012

TECHNOPOLE

Troupe de théâtre que j’ai rencontrée lors du fameux festival d’Auribeau-sur-Siagne, la Cie les Enfants du Paradis s’est installée à Sophia-Antipolis.
Voilà bien le genre de commune à laquelle on ne pense pas tout de suite lorsqu’on parle de Spectacle Vivant.
C’est la raison pour laquelle je vous invite à aller visiter leur site
(désormais en lien Colonne de Gauche) en cliquant ICI. Vous y trouverez les horaires de l’ensemble des cours proposés dès la rentrée en septembre (une fois sur la page d’accueil, cliquez sur la case centrale intitulées Atelier Théâtre).
 
La compagnie précise qu’il y aura deux journées "portes ouvertes" les samedi 8 et mercredi 12 septembre de 10h00 à 16h00. Il y aura également des "séances découvertes" les mardi 25, mercredi 26 et samedi 29 septembre.

Illustre-A l'affiche-Technopole-Logo les Enfants du Paradis-01.jpg

À Valbonne, les ateliers se déroulent dans la salle du cloître, à côté de l’église ; à Sophia-Antipolis, dans le théâtre des Enfants du Paradis, place Sophie Laffitte.
Les ateliers en anglais sont destinés aux enfants bilingues, ou anglophones.
Pour plus de renseignements, vous pouvez aussi téléphoner au 06 62 41 20 38 (Éric) ou au 06 22 40 48 82 (Valérie).

01/08/2012

IMPROBABLE

Montferrat, village du Haut-Var où je n’étais jamais allé, situé entre Draguignan et Comps ; une salle polyvalente que je ne connaissais pas et, ma foi, très bien agencée (grande hauteur de plafond et véritable scène) ; une chorale que j’ai découverte et qui venait tout droit de Plovdiv, deuxième ville de Bulgarie : le Chœur Yvan Spassov.

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Cette rencontre improbable est bien le genre de chose qui se produit lors d’un festival. C’est la raison pour laquelle je ne manque pas une occasion de vous le redire, quitte à déborder un peu des Alpes-Maritimes, comme ici avec ce 17ème Festival Choral International en Provence.
Même le public est différent : composé pour moitié des habitants de la commune et pour le reste de vacanciers. Peu de chance de recroiser quiconque dans d’autres spectacles. Public encore plus éphémère qu’en saison, où là les spectateurs abonnés et les théâtreux finissent toujours par se revoir.
Cette soirée passée en compagnie des choristes dirigés par Gergana LYNTSKANOVA-PETROVA m’a beaucoup plu. Pour la variété de son répertoire et la qualité de son interprétation, bien sûr ; mais aussi pour ce signe évident que le Spectacle Vivant est à la fois fragile et très puissant. Pour m’avoir montré à quel point des humains qui ne se connaissent pas peuvent communier ensemble le temps de 28 morceaux choisis.
Oui, certains spectateurs on ressenti une impression de longueur. Pour ma part, je n’ai pas éprouvé la moindre lassitude et c’est en toute franchise que j’ai demandé « bis » au milieu des applaudissements nourris.

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Ce festival a été rendu possible grâce au travail de toute une équipe, rassemblée au sein d’une fédération d’associations.
Une petite visite sur leur site (cliquez ICI et cliquez L
À aussi) vous rendra compte de l’ampleur de leur action autour du chant choral : organisation de festivals, mise en réseau des chorales et, en partenariat avec des tour-operators, conception de voyages touristiques incluant des spectacles chorals à l’étranger…
Je remercie Sylvain FRANCESCATO — Chargé de Diffusion et de Production — pour sa disponibilité. Malgré l’effervescence et le feu de l’action, il n’a pas hésité à me consacrer un quart d’heure pour répondre à mes questions et me faire partager sa passion.

Il m’a ainsi expliqué que la gratuité d’une soirée comme celle-là repose sur une triple participation :
- Chacune des associations de la fédération, forte des adhésions des plusieurs dizaines de chorales et des adhésions simples ainsi que du financement des seules communes, peut offrir l’hébergement et la restauration aux compagnies invitées ;
- Les compagnies elles-mêmes financent leur déplacement ;
- Les communes enfin mettent à disposition leurs locaux.

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Comme souvent, le maillage, le réseau associatif est le levier incontournable qui permet de développer de grands événements avec des moyens modestes : la 17ème édition du Festival Choral International en Provence s’est étendue sur 30 communes et a présenté 25 chorales, dont certaines venues de Chine, d’Italie, d’Espagne, d’Angleterre, d’Arménie, d’Ukraine et de Bulgarie.

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Comme je faisais part à Sylvain FRANCESCATO de mon intérêt pour la mise en scène soignée, très soignée même, celui-ci me confiait que, grâce au travail accompli par leur fédération pour organiser des rencontres entre chorales d’horizons variés, les compagnies françaises avaient pris conscience de l’importance de la mise en scène et que le public ne se contentait plus aujourd’hui de la seule performance chantée.

Encore bravo ; bravo à toutes et à tous !

23/07/2012

BALASKOVIĆ

C’est un sacré pari que de reprendre la pièce de Josiane BALASKO : Nuit d’Ivresse.

Eh oui, tout le monde connaît Simone, taularde en permission pour quelques jours et Jacques Belin, le présentateur cynique à la mode mais qui va perdre beaucoup durant cette nuit.
Leur rencontre improbable va être l’occasion d’une cascade de quiproquos et de quelques scènes devenues cultes.

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Mais la difficulté n’est pas là. En effet, lorsqu’un théâtre propose une pièce de MOLIÈRE, tout le monde ou presque en connait aussi le contenu, et pourtant la pression n’est pas la même, la difficulté est ailleurs.

De même lorsqu’un comédien doit endosser le rôle de Cyrano : il passe après Daniel SORANO, Jacques WEBER, Gérard DEPARDIEU et bien d’autres. Mais la encore, ce n’est pas ça, c’est un autre problème.

Dans le cas de Nuit d’Ivresse, comme dans toutes les autres pièces de BALASKO, le public n’a en mémoire qu’une seule équipe d’interprètes. Même si ce texte a été joué de nombreuses fois par d’autres compagnies, le public ne se rappelle — pour l’instant — que des comédiens qui ont crée le spectacle : Michel BLANC, puis Thierry LERMITTE au cinéma… etc.

Lorsqu’on va voir Dom Juan ou Cyrano, on se dit que l’artiste passe après LES plus grands comédiens, et on s’est fait à l’idée que ces grands personnages puissent changer de visage et de voix. Mais pour Simone, on se dit que la comédienne passe après BALASKO et c’est tout.

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Les personnages de Nuit d’Ivresse sont très attachants, comme le peuvent être le Professeur Tournesol et le Capitaine Haddock, car on a l’impression de les connaître pour les avoir croisés chaque matin dans l’escalier. Bien plus attachants que d’autres caractères, pourtant plus prestigieux.

Attention, je ne dis pas que Tartuffe ou le Père Ubu sont des personnages de moindre importance, pas du tout ! Je dis simplement qu’au fil du temps et des représentations, ils se sont fondus dans notre mémoire collective, ils sont devenus des archétypes désincarnés. Ce n’est pas encore le cas de Simone.
On se souvient de l’échec de Roger HANIN dans sa tentative à reprendre un des rôles crées par RAIMU : le boulanger dans la Femme du Boulanger, de Marcel PAGNOL, pourtant crée en 1938.

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Dans cette Nuit d’Ivresse que nous propose la Cie Le Mât, j’ai trouvé que Ralph SCHÜTTE et Sylvie REVERCHON nous faisaient oublier leurs illustres prédécesseurs. Peut-être parce qu’ils ont su rester attachants.

Fabrice REYMOND incarne (en alternance avec Antoine SAXE, que je n’ai pas vu) le troisième personnage, le barman qui s’incruste un peu trop.
À eux trois, ils reconstituent pour le public les bons moments passés lors de cette fabuleuse nuit d’ivresse.

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On pourra trouver que Sylvie REVERCHON doit mettre davantage de hargne dans son personnage. Cette hargne accumulée au fil des coups portés par la vie, la prison…

En effet, la principale caractéristique de Simone n’est pas la gouaille parisienne, si bien retranscrite par Josiane BALASKO. Bien que très réjouissant, ce verbiage de parisienne peu distinguée et haute en couleur n’est qu’une composition proposée par l’actrice lors de la création de la pièce.
Heureusement, Sylvie REVERCHON s’est bien gardée de faire une simple imitation, qui aurait forcément souffert de la comparaison. (Rappelez-vous le fameux Roger HANIN voulant à tout prix imiter l’accent marseillais : le résultat fut un désolant mélange à base d’accent pied-noir mâtiné d’une pointe de Provence. Affligeant.)
Non, c’est bien la "niaque" — associée à la spontanéité — qui est le ressort principal de Simone. Et Sylvie REVERCHON l’a parfaitement compris et pense appuyer davantage sur cette facette de son personnage.

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Une mise en scène classique mais plaisante. De même pour le décor. Un spectacle qui démarre, donc encore un peu vert, notamment dans la gestion des accessoires — mais rien de bien méchant.

Je peux recommander ce spectacle à toutes celles et à tout ceux qui souhaitent se divertir en regardant une comédie intelligente.

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C’est du mercredi au dimanche, pendant les mois de juillet et août, à 21h00

Au théâtre de l’Atelier
18, rue de la Barillerie dans le Vieux-Nice

Tarif : 15 Euros / réduit : 10 Euros

Renseignements – réservations au 04 93 01 35 48

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Je terminerai par un hommage au talent de Josiane BALASKOVIĆ (son vrai patronyme). On n’apprécie jamais autant le texte d’une pièce que lorsqu’on doit la jouer. Et, pour avoir endossé le rôle de Sylvestre dans un Grand Cri d’Amour, je peux affirmer que ses pièces sont très finement écrites et très bien construites.
Souvent, très souvent, le metteur en scène pratique des "coupures" dans le texte original, voire réécrit certaines répliques, même lorsqu’il s’agit de classiques parmi les classiques. Pour la pièce de BALASKO, nous n’avions pas eu besoin de changer une virgule. Un signe qui ne trompe pas.

13/07/2012

A VOUS DÉZINGUER

Une piqûre de rappel assez tardive, puisque le spectacle a lieu ce soir, 21h00, au Centre Culturel de la Providence, à Nice.

Il s'agit de
CABARET ZINC
Un spectacle qui "tourne" depuis plus d'un an et demi déjà.

Cabaret Zinc.jpg

« Sept personnages excentriques et cocasses incarnent au travers des chansons des années de l'entre deux guerre la folie, la liberté d'expression, l'humour, l'extravagance et transcendent la réalité d'un monde qui sort d'un désastre pour se jeter dans un autre.»

La première était déjà très bien et tout me laisse penser que ce soir devrait être un bon cru.
De plus, il semble que ce sera sur le parvis du Centre, en plein air. Une bonne soirée en perspective.

Impossible de trouver le tarif ( ! ) mais cela ne devrait pas être trop cher.

Cliquez ICI pour aller voir le site du spectacle. (Il n'est pas rare aujourd'hui de créer un site uniquement pour un spectacle !)