19/05/2006
Happy Anniversaire !!!
C’est l’anniversaire de l’Illustre Théâtre ! Enfin, un tout petit anniversaire, puisque ce Blog a tout juste un mois. C’est plutôt un moinniversaire.
Je ne ferai pas dans l’originalité ce soir : UN GRAND MERCI à tous les visiteurs qui m’ont fait l’honneur de venir ici, à tous ceux qui ont participé et même à ceux qui étaient là par hasard, et qui sont repartis (je suis de bonne humeur).
A très bientôt.
L U C
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18/05/2006
Nous ne faisons pas le même métier Mon Cheeeeer…
C’est une amie qui m’a rapporté cette brève réponse.
Il s’agissait de deux galeristes, l’un exposant des tableaux de peintres expressionnistes, l’autre montrant des œuvres dites d’avant-garde. Le premier des deux (celui des expressionnistes, les paysages quoi, vous suivez hein ?) voulant aborder des questions relatives à ce qu’il croyait être leur même profession, s’entendit donc répondre cette énorme sentence : « Mais nous ne faisons pas le même métier ! »
Après tout, on pourrait se dire que cette réflexion n’est pas si fausse que cela, invoquer mille prétextes pour montrer ces prétendues différences. Que celui qui vend des paysages et autres motifs pour tapisserie n’apporte pas la même chose que celui qui propose des toiles d’un peintre expérimental, car lui il ne « vend » pas, il « fait découvrir » !
Vous l’avez compris, ce que je reproche à ce genre de réflexion, ce n’est pas qu’elle soit fausse, bien au contraire ; c’est le ton un peu hautain qui s’en dégage.
Si je vous tiens la jambe avec mes histoires de peintres (véridique !), c’est qu’on en trouve l’équivalent dans le monde du spectacle. Et d’ailleurs, cet épisode des galeristes, mon amie me l’avait raconté pour bien me faire comprendre toute la différence qu’elle faisait entre certains metteur en scène montant toujours des classiques et d’autres, expérimentant toujours plus. Là encore, je dois reconnaître qu’elle avait raison, mais chez elle aussi, j’ai cru déceler une once de dédain envers les théâtres qui ne présentent que des pièces dites pour le grand public.
Si le public est « grand », est-ce parce que l’œuvre est bonne, ou bien est-ce que la majorité des spectateurs n’est capable d'appréhender que des créations médiocres ?
L’art dans son ensemble est une chose tellement irrationnelle, que je me demande comment on peut songer à établir une classification. Qui a le plus de talent ? Celui qui fait rire le public du samedi soir ou celui qui se risque dans des spectacles expérimentaux ?
Je crois que cette question ne mérite pas d’être posée. Je crois que tous font le même métier. Malgré les grandes différences qui existent entre eux, ils font tous le métier de faiseur de rêve, de poseur de questions, de fabricant de rire et d’empêcheur de penser en rond.
Je pense qu’il serait bon de récolter vos avis sur ce sujet. En effet, je dois avouer ici qu’à plusieurs reprises, j’ai décelé dans le milieu du spectacle, ce genre de jugement. L’un raille l’autre, qui le moque en retour. (Chacun des deux prenant bien soin de souligner qu’il respecte beaucoup l’autre !)
Fort heureusement, ces attitudes ne sont pas légions, et de grandes amitiés naissent aux détours d’une pièce de théâtre.
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16/05/2006
« ICH BIN DON QUICHOTTE »
Si le titre n’a pas changé, ce spectacle de la Cie Antipodes a été retravaillé en profondeur.
Crée lors des 7èmes Rencontres Cinéma & Vidéo de Nice organisées par l’association REGARD-Indépendant, il s’agissait alors d’une performance purement expérimentale. Mais samedi soir, c’est bien un spectacle abouti qui a été proposé au public de l’Entre-Pont. (Voir note du vendredi 12, ci-dessous) Un public composé en partie d’autres professionnels du spectacle, dans le cadre des rencontres professionnelles Danse et Compagnies.
Pour REGARD-Indépendant, c’est un motif de satisfaction de voir que l’essai marqué 7 mois plus tôt a bien été transformé.
Les danseurs et comédiens évoluent sur une musique jouée en direct, dans un décor composé essentiellement d’images projetées non pas sur un simple écran mais sur plusieurs supports différents. Ces images en mouvement sont réalisées par un caméraman qui capte les danseurs évoluant sur la scène. Un autre opérateur retouche le film avant de le projeter, en temps réel. Musiciens, caméraman et même la régie, tout ce monde fait partie de la mise en scène et reste visible par le public.
L’infinie richesse d’expression que procure cette mixité reste encore à explorer. L’effet de mode qui pousse actuellement la création dans ce sens n’altérera pas, je crois, la vraie valeur de tels spectacles conçus avant tout, non comme une performance technique, mais bien comme une œuvre d’art.
Et Don Quichotte dans tout ça ? En voyant le spectacle, il m’a semblé qu’on avait surtout retenu sa folie obsessionnelle, son univers presque onirique, irréel. (La première mouture avait d’avantage exploité une chorégraphie basée sur des mouvements d’escrime.) Je termine cet article en annonçant que j’espère accueillir prochainement Lisie Philip, de la Cie Antipodes, qui viendra ici répondre à quelques questions.
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12/05/2006
MÉLANGEZ VOUS !
J'ai mis en lien (à la rubrique " D'autres BLOGS, d'autres PERSONNES ", colonne de gauche) le blog de REGARD-Indépendant. C’est une association qui œuvre, depuis 10 ans, pour le cinéma indépendant et émergent en région PACA.
Depuis 7 années consécutives, au mois d’octobre, a lieu le festival Rencontres Cinéma et Vidéo à Nice. Lors des 7èmes « Rencontres », en octobre 2005 donc, nous avons voulu tendre une passerelle entre deux univers qui ne se cotoient pas assez à notre avis : celui du cinéma et de la vidéo d’un côté, et celui du spectacle vivant de l’autre. Ce fut un vrai succès.
Je n’ai pas besoin de développer ici des informations que vous trouverez facilement en vous rendant directement sur le blog de REGARD-Indépendant, puis sur celui des 7èmes Rencontres. Toutefois, il se trouve que, lorsqu’un festival est réussi, il y a souvent un « après ». C’est cette information qui fait l’objet de l’article d’auourd’hui.
En effet, lors de notre 7ème festival (je dis « notre » car, vous l’aurez compris, je fais aussi partie de l’association REGARD-Indépendant !) 5 spectacles mixtes furent présentés au public, 5 spectacles mariant comédiens et danceurs avec de l’image projetée. L’un d’eux, sans doute le plus expérimental à mes yeux, a été retravaillé et repris plusieurs fois depuis.
C’est ce spectacle qui sera de nouveau représenté demain samedi :
ICH BIN DON QUICHOTTE
Compagnie Antipodes
Performance danse-théâtre-vidéo-musique
Samedi 13 Mai 2006 - 20h00
Salle du Grain du Sable - L'Entre-Pont - 16, rue de Roquebiellère - 06300 NICE
dans le cadre des Rencontres professionnelles Danse et Compagnies
J’espère que beaucoup d’entre vous pourront aller voir cette belle performance, car elle mérite le déplacement.
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10/05/2006
INITIATIVE DANS LES COLLEGES ET LYCEES :
Les professeurs qui le souhaitent peuvent faire travailler leurs élèves à un projet théâtral incluant une représentation. J’ai recueilli le témoignage d’une professeur qui a vécu cette expérience.
Comment es-tu arrivée dans ce projet et dans quel contexte ?
Une collègue d’un autre lycée étudiait le Barbier de Séville en classe de seconde – classe difficile, élèves en difficulté… Ils ne comprenaient pas le potentiel comique du Barbier. Elle s'est dit que le seul moyen était de les faire jouer. Ils ont eu quinze jours pour préparer une courte scène en apprenant le texte.
As-tu hésité avant d'accepter ce chalenge ?
Non pas une minute, car c'est une amie et je voulais faire du théâtre avec ses élèves comme je l'ai fait avec les miens. En effet, avant, mes élèves avaient joué les Fables de la Fontaine (livre VII).
Tu m'as dit que les professeurs de lettre savent que de tels travaux sont possibles. Peux-tu en préciser le cadre général ?
Les instructions officielles invitent les profs de lettre à faire jouer les élèves des lycées mais aussi des collèges. C'est assez vague car les enseignants ne sont pas censés avoir une formation théâtrale.
Quels moyens sont mis à ta disposition ? (salles, personnel, documents...)
Par exemple au collège on peut préparer une pièce avec les élèves si on en a les moyens. Tout dépend de ce que tu comptes faire. Pour ce mini projet, aucun moyen particulier : les élèves étaient invités à apporter des accessoires, on disposait de la salle de cours habituelle. Mais bien sûr le CDI [ le Centre de Documentation et d’Information, la bibliothèque – NDR] a des pièces de théâtre filmées.
Mais dois-tu rendre des comptes à une hiérarchie, ou bien le projet est-il mené de bout en bout par toi seule ?
Normalement, pour ce petit projet, il faut demander l'autorisation au proviseur de faire intervenir une personne extérieure à l'établissement. Sinon tu t'occupes de tout.
Peux-tu nous dire si les élèves ont changé d'opinion sur ce travail qu’on leur a demandé ? Lui ont-ils fait bon accueil au départ ?
Oui tout à fait. Au départ oui, mais ils étaient très timides et n'osaient pas jouer. Aucune mise en scène n'avait vraiment été préparée par eux. Ils se regardaient jouer, ils se sentaient ridicules. Pour décoincer les choses nous avons joué un extrait : avec mon amie nous avions trouvé une mise en scène, prévu des accessoires ; j’ai joué le rôle de Figaro. C’est après cela que les élèves ont vraiment voulu se mettre en danger puisque les profs avaient montré l'exemple.
Mais tout le monde a malgré tout voulu suivre ? C'était un groupe de travail composé d'élèves volontaires ?
Non, il a fallu les stimuler par un travail noté. En échange ils pouvaient nous noter aussi. Mais vu leur timidité nous avons laissé tomber la notation.
Quelle a été la qualité essentielle à tes yeux pour mener ce projet ?
Il faut savoir les valoriser, leur donner confiance, car ils se sous-estiment beaucoup. Il faut savoir trouver les mots… et faire le clown !
Une fois le travail terminé, quel a été l'attitude des élèves ?
Ils sont très pudiques. Ils ont fait ce qu'on leur disait de faire pour la mise en scène. Mais après ils ont dit à leur prof qu'ils étaient très contents, que j'étais gentille et qu'on leur avait donné de bons conseils. Du coup, après ils voulaient tout le temps faire du théâtre.
As-tu eu d'autres retours dans les semaines qui ont suivi ? (parents, profs, académie...)
Oui. J'ai parlé de cela à l'IUFM, auprès de mes collègues également. Ils ont trouvé cela très bien mais certains m'ont dit qu'ils n'oseraient pas se lancer.
Penses-tu qu'avec tes élèves tu vas pouvoir renouveler cette expérience ?
Je n'ai guère le temps car il y a le programme à terminer. Si certains sont volontaires je les garderai en plus un vendredi soir pour travailler à des scènes de Don Juan.
Penses-tu que beaucoup d'autres professeurs de lettres ont les capacités qu'il faut pour faire un tel travail ?
Honnêtement je pense qu'il faut un minimum de formation au théâtre. Juste un stage de deux jours et ça suffirait.
Penses-tu qu'il serait réaliste de créer un poste pour un intervenant dans une académie ?
Il y a des postes en lycée pour les enseignants qui ont une certification théâtre. Ils s'occupent de l'option théâtre en terminale et sont aussi prof dans une autre matière.
Y a-t-il un moment dont tu te rappelles particulièrement ?
Non. Cela a été intense pendant trois heures et j'étais très fatiguée. Ah si ! Quand je leur ai appris la fausse gifle de théâtre, ils étaient très heureux de savoir faire cela et l'ont intégré à leur mise en scène.
Y a-t-il eu des soirées, des mini-festivals, présentant les spectacles de plusieurs classes, voire d’établissements différents ?
Pas de festivals particuliers. Si, à mon lycée, une soirée de représentations en italien et aussi des chansons, présentées par plusieurs classes.
Il faut voir si le Festival de Théâtre National Lycéen existe toujours, il se déroulait à mon époque à Thonon-les-Bains et j'avais joué devant Valère Novarina. [ Romancier et écrivain de théâtre, puis également dessinateur et peintre, né en 1947. Il monta de nombreuses pièces dans de grands théâtres et lors de festivals comme celui d’Avignon.
Il existe encore un tel festival, mais sur Paris (pour plus d’informations, CLIQUER ICI). Mais pour Thonon-les-Bains, je n’ai rien récolté qui signale une telle activité – NDR ]
Nous te remercions pour ce témoignage.
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08/05/2006
Aujourd’hui, je laisse un peu travailler les autres.
Je mets en lien deux sites qui, s’ils ne sont pas absolument exhaustifs, n’en sont pas moins utiles et instructifs.
Le premier est un glossaire récapitulant, par ordre alphabétique, les termes que l’on rencontre en lisant les préfaces des pièces de théâtre ou des ouvrages qui traitent de ce sujet. (cliquer sur GLOSSAIRE)
L’autre, plus général, traite des auteurs français dit « classiques ». Certains articles sont manifestement plus développés que d’autres, mais ont trouve ici presque toujours ce que l’on cherche. (cliquer sur CLASSIQUES)
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05/05/2006
Une mise en scène... capricieuse
Chose promise... Je suis allé voir les Caprices de Marianne au TNN, dans la grande salle (Pierre Brasseur).
Je pensais que ce compte rendu serait la suite logique du premier article écrit avant-hier, ce n’est pas le cas. En effet, je prétendais qu’une représentation offre une meilleure explication de texte que n’importe quelle bonne préface. Je dois revoir ma copie. Car chaque metteur en scène est libre d’apporter l’éclairage qu’il juge bon. Et parfois sa vision d’une pièce s’écarte largement de celle qui est exposée dans les introductions et autres manuels. C’est le trop fameux « dépoussiérage » d’une œuvre. (terme qu’il faudrait peut-être lui-même dépoussiérer, lors d’un prochain article de fond) En ce qui concerne les Caprices, le point de vue du metteur en scène me paraît trop éloigné de l’œuvre de Musset.
Attention, je n’ai pas dit que le spectacle était mauvais, bien au contraire. Deux amies qui étaient à cette représentation en on fait une critique trop sévère à mon sens. Leur principale déception étant d’après elles le manque d’engagement des comédiens. Je répondrai que cela découlait du choix d’un jeu technique plus que psychologique. Nous étions dans la plus grande des deux salles : une narine qui frémit, une pupille qui se dilate, un regard qui se fige ou une joue qui rosit à peine, cela est très beau, mais parfaitement invisible au-delà du troisième rang. On va me dire que j’exagère, que l’on peut ÊTRE et VIVRE un personnage et le montrer même à des spectateurs éloignés. C’est vrai, puisque je l’ai déjà vu. Mais c’est très périlleux. Le comédien doit être chaque soir à son plus haut niveau d’excellence s’il ne veut pas que les spectateurs du dernier rang s’endorment. Si j’avais la chance de jouer un des rôles, moi aussi je préfèrerai le système de Stanislavski, vivre de l’intérieur le personnage. Mais c’était aussi bien comme ça, le défaut est ailleurs.
Car voici ma critique : les personnages principaux étaient trop éloignés de ceux inventés par l’auteur. L’opposition bohème et libertin contre timide et romanesque ne fonctionnant pas, une des raisons d’être du drame n’existait plus. Un Octave trop bonhomme et un Cœlio trop péchu ont déséquilibré la pièce. Et la dualité presque maladive de Musset n’était plus lisible en eux. Est-ce à cause de la transposition du Naples du XVIème siècle à l’époque contemporaine ? Ou bien à cause de cette technique parfois trop apparente ? (notamment en ce qui concerne la prosodie des personnages principaux : ils semblaient parler souvent sur un rythme invariable, avec une diction trop appuyée, même pour un classique, par exemple sur les consonnes finales, donnant à certains moment l’illusion que les personnages venaient de Toulouse). A décharge, il faut dire que j’étais au deuxième rang. Dans une grande salle, on devrait toujours tenir les premiers fauteuils à au moins dix mètres de la scène. Autrement, on entend à 1 mètre des voix qui portent à 50.
Il faut se rappeler que cette pièce est un « classique », c'est-à-dire qu’un grand nombre de spectateur l’a au moins déjà lue, si ce n’est déjà vue, voire déjà jouée. (Un tiers de scolaires embarqués là par un professeur dynamique, un autre tiers rassemblant comédiens et autres artistes, un tiers de férus de littérature et un dernier tiers composé de la famille et des amis et… ça fait 4 tiers) Aussi, il y a un piège tentant de vouloir dépoussiérer un peu trop dans le seul but de surprendre un public qui se croyait averti. Le metteur en scène s’y est peut-être laissé prendre parfois. Parfois non.
Comme je l’ai déjà souligné, Alfred de Musset a écrit cette pièce uniquement pour un public de lecteur et non pour la faire représenter. Ceci expliquant peut-être cela, il n’y a pratiquement aucune didascalie dans ses œuvres dramatiques (ces textes souvent écrits entre parenthèses ou bien en italique, et qui donnent des indications de mise en scène de l’auteur lui-même) Cela donne une grande liberté au metteur en scène – une trop grande liberté s’il n’est pas inspiré, mais j’ai apprécié la façon dont Jean-Louis Benoit s’est servi du moindre indice à sa disposition pour construire sa mise en scène. Moins la façon dont il a dirigé ses comédiens.
Avant de conclure, j’ajouterai qu’Alfred de Musset avait du talent, en plus du génie. J’en veux pour preuve toutes ces répliques qui ont fait mouche alors même que ni la mise en scène ni le comédien n’en étaient responsables.
En bref :
J’ai beaucoup aimé : la mise en scène efficace, exploitant bien les ressources du texte comme du lieu.
J’ai apprécié aussi : les moyens dont peut disposer un spectacle dans une structure comme celle du TNN.
J’ai regretté : la fausse bonne idée qui consiste à transposer dans notre époque un drame se déroulant aux siècles passés ; signifiant peut-être que les personnages d’hier sont aussi ceux d’aujourd’hui.
Je n’ai pas aimé du tout : un Octave et un Cœlio pas assez opposés, pas assez unis.
Pièce d'Alfred de Musset, représentée les 03, 04 et 05 mai 2006 au TNN, salle Pierre Brasseur.
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