17/03/2011
C’est pas facile, mais ça nous plait.
Je n’ai rien écrit après notre sixième répétition. La septième a été annulée. Ce n’est pas le métier de comédien qui nous fait vivre. Tous les quatre avons des plannings déjà remplis. Cela se ressent sur le rythme des répétitions.
Le théâtre Athéna attend que nous soyons prêts. Nous jouerons dès que nous serons prêts. Le théâtre qui nous accueille a ouvert récemment. Ils ont besoin de spectacles pour leur programmation. Ils ont des frais. Ils ont des responsabilités. Ils essayent de nouveaux créneaux horaires. Nous jouerons le mardi, à 19h00.
Cela va être difficile. C’est difficile pour tout le monde. Mais on le fait quand même. On ne peut pas s’en empêcher. On s’amuse bien pendant les répétitions. Savoir que je vais jouer ici me plait beaucoup.
Dans les Alpes-Maritimes, le nombre de théâtres a fortement augmenté ces vingt dernières années. Ce n’est pas surprenant, car ils se comptaient alors sur les doigts de la main. Le public, lui, ne s’est pas développé dans les mêmes proportions, loin de là.
Faire vivre un lieu, avoir sa propre salle, c’est un rêve commun à beaucoup d’artistes, mais c’est une tâche de plus en plus ardue.
On fonde un théâtre et on se dit « Je jouerai tout ce que je veux, je jouerai souvent, j’inviterai plein de compagnies ! » et on se retrouve la première année à ne remplir que des dossiers, à distribuer des tracs et faire de la pub sur le Net, à téléphoner, organiser, se ronger les ongles ; parfois même à se disputer…
Pas facile, pas facile, mais… quel beau rêve !
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12/02/2010
Vive l'eau
Bonne nouvelle : un nouveau lieu a vu le jour en décembre dernier. Il s’agit du Théâtre de l’Eau Vive.
Il est situé face à l’hôpital St Roch, au 19 rue Delille, à Nice. D’après le plan disponible depuis leur site, c’est une salle qui jauge 42 places, comme de nombreuses autres structures.
En effet, au-delà de 49 places, la réglementation impose un pompier de service, au-delà de 99, il faut en compter deux et ainsi de suite.
D’autre part, dans une zone de forte agglomération, il est toujours possible de remplir ce genre de théâtre. Pour une salle de moyenne importance, c’est déjà moins évident ; or, posséder un salle bien a soi implique des frais (en plus d’un grand plaisir et d’une fierté immense).
Car c’est à des choses comme cela qu’ont dû penser Fabienne COLSON et David BANCEL, les créateurs de « l’Eau Vive ».
Ils m’ont d’ailleurs confié que, depuis le début de cette aventure, ils jouent beaucoup moins souvent, contrairement à ce qu’ils espéraient. Mais la "com.", les démarches diverses et la programmation leur ont pris pas mal de temps.
La programmation, justement : Fabienne et David ont la volonté de mettre en avant des créations. Ce n’est pas une chose simple. Les créations, par définition, on ne les a pas encore vues, on n’en connaît même pas le texte. Il faut prendre le temps de découvrir les talents éparpillés un peu partout dans la région ou ailleurs. Il faut prendre le risque de montrer des spectacles auxquels le public n’adhérera peut-être pas.
Je souhaite bien entendu le contraire à ces deux comédiens déjà riches de plusieurs années d’expérience de la scène.
Que les autres lieux de spectacles ne fassent pas grise mine : un théâtre de plus, c’est une invitation de plus faite au public. C'est-à-dire qu’il y a comme un effet "galerie marchande" ; et plus il y a d’affiches dans les rues, plus de gens auront envie de sortir à nouveau pour aller voir dehors ce qu’il se passe de beau. Plus il y aura de choix dans la programmation, et plus les spectateurs auront l’occasion de se laisser tenter.
Pour clore cet article, je vous invite à cliquer sur l’image ci-dessous pour aller visiter le site de l’Eau Vive. Bien entendu, le lien se trouvera désormais dans la Colonne de Gauche — que je suis justement en train de réorganiser, du fait de sa longueur.
Je rajoute ici une vue de l'entrée du théâtre, prise par un ami facétieux (vous pourrez cliquer sur l'image pour accéder à son blog)...
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09/02/2007
En lieu et place
Pour illustrer mon optimisme quant à l’avenir du Spectacle Vivant, je parle souvent du nombre de lieux qui se sont ouverts ces dernières années. Mais je n’avais pas encore eu l’opportunité de recueillir les propos de ceux qui se sont lancés dans cette aventure. Cette page blanche est aujourd’hui remplie, car nous accueillons, Derrière le Rideau, le Théâtre de l’IMPASSE.
Cette salle a vu le jour à l’automne dernier, grâce au travail de la Compagnie CÉLIANDRE. Il s’agit d’une association (loi 1901 – à but non lucratif) « … dont l’objet est l’aide aux jeunes artistes, la promotion des comédiens et l’organisation de soirées caritatives au profit de grandes causes ; créées en 1995 pour aider la lutte contre le Sida… » Cette structure souhaite mettre en place quelques formules originales, comme par exemple des séances à 18h30 pour les personnes ayant des problèmes de déplacement ou d’horaire. Quatre des membres de la Cie CÉLIANDRE s’occupent entièrement de ce lieu de spectacle : Michelle QUADRI, Dominique BRENOT, Fabrice VANISCOTTE et Noël DUCHENE. C’est ce dernier qui a pris le temps de répondre à mes questions :
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J’ai pu constater pour l’instant que la programmation était assez éclectique. Est-ce une démarche volontaire ou bien une recherche d’identité ? Comment cela se passe, comment se conçoit la programmation de ta salle ?
Noël : Ce n’est pas « ma salle », c’est vraiment un théâtre associatif ici. Donc c’est important : c’est une association qui gère ça. Par rapport à la programmation, je dirai qu’on a un peu été forcé ; parce que lorsqu’on a ouvert, on était inconnu, on ne savait pas trop quand est-ce qu’on allait réussir à ouvrir effectivement… On ne savait pas trop, on ne voulait pas se donner de date bien précise pour l’ouverture, compte tenu que c’était nous qui faisions les travaux, donc chaque difficulté nous arrêtait un peu. Mais du coup les premiers temps quand on a ouvert, on a ouvert avec ce qu’on avait dans nos valises : « la Daube au Madère » puis « les Vapeurs de Gwendoline » puis « Moulin rouge ». Et puis après c’est un peu parti à la découverte, aux rencontres, aux coups de cœurs. Ça c’est fait vraiment comme ça, et puis après de bouches en oreilles, les artistes ont envoyé des amis, d’autres artistes ; notre programmation s’est un petit peu faite comme ça. On savait pas trop où on allait : Michelle elle est plutôt côté théâtre, nous on était plutôt côté cabaret et café-théâtre…
« Nous » c’est qui ?
Noël : Dominique et puis Fabrice et moi. Donc on ne savait pas trop où on allait. Et puis, à essayer les choses, et puis à essayer de concilier théâtre et cabaret, on est parti sur quelque chose d’assez coloré au niveau de la programmation. Du moins on va essayer…
Alors, ça se précise ?
Noël : Oui, oui, j’ai l’impression qu’il y a une vraie tendance qui est en train de se faire et de se concrétiser au niveau de la programmation. Parce qu’on s’est rendu compte que les spectateurs de théâtre pouvaient aussi aimer la musique, c’était pas l’un contre l’autre. Et d’offrir, de voir par exemple « Moulin Rouge », qui est à la base un spectacle de danse dans lequel on a greffé de la comédie, de voir l’impact que ça a, ça nous a conforté un petit peu vers le côté cabaret.
C’est l’expérience même qui vous a ouvert une piste…
Noël : Oui… Là en janvier, on vient de tester le premier festival de la chanson française à l’IMPASSE. Donc la scène était ouverte à de grands auteurs de textes français. Donc on voulait garder quand même ce côté texte parce qu’on est avant tout un théâtre on n’est pas un café-concert, ou on n’est pas un bar qui fait de la musique ; on est avant tout un théâtre, mais dans la chanson française il y a de tels textes et tu peux y mettre de telles émotions que c’est du théâtre. Et c’est du théâtre en chanson.
La frontière est mince entre les deux univers, c’est sur un fil…
Noël : C’est sur un fil, mais en même temps… tu restes quand même dans une logique de texte et de musique ; même si c’est de la chanson. La chanson, ce n’est pas un art mineur hein, comme dit Gainsbourg… Mais ça a été très beau, ça nous a enchanté, ça a enchanté le public ; et on s’est dit notre souhait il est là dedans : faire du théâtre… coloré, je dirais. Avec de la chanson. Là on accueille les clowns, on les avait déjà programmés, on les reprogramme, parce que le public enfant il nous intéresse aussi, et puis c’est des spectacles où même en tant qu’adulte t’apprends tout ! Enfin moi en tant que comédien adulte, c’est une grande leçon de voir un clown. C’est très difficile ! C’est très, très difficile. En quelques instants il faut que ça passe du rire au larme, c’est un travail formidable qu’ils font avec beaucoup de talent, et c’est coloré quoi. Et eux ils trouvaient pas où se faire programmer.
Ah bon ?
Noël : Clown pour adultes, tu ne trouves pas à te faire programmer : les théâtres n’en veulent pas parce que c’est pas assez sérieux, les cafés-théâtres n’en veulent pas parce que c’est pas vraiment l’esprit café-théâtre… Donc ils trouvaient pas à se faire programmer, si ce n’est pour les séances typiques "enfants" les mercredi après-midi ou les dimanches après-midi ; mais pas pour un public adulte. Or moi je trouve qu’on est tous des grands enfants. Il n’y a pas d’âge pour avoir son étiquette d’enfant. Et les voir… moi ils m’amusent pendant une heure tous les soirs. Tu vois je les revois le lendemain, et ben c’est d’autres choses. En plus c’est du direct… Donc là tu vois, février, c’est carrément la Cie de l’Arpette qui déboule à l’IMPASSE, avec trois spectacles de clown et… on fonce là dedans quoi. On verra bien si ça marche ou si ça marche pas, c’est pas le souci pour l’instant.
En tout cas vous voulez essayer.
Noël : En tout cas on a envie d’essayer.
Vous êtes quatre ainsi à vous occuper de ce lieu. Qui fait quoi ? Les tâches sont-elles précisément réparties ? Pour toutes les questions qui sont posées au quotidien, comment ça se passe : pourquoi ce spectacle là va être retenu et pas un autre, qui va dire oui, allez je signe. Qui décide ?
Noël : Il y a beaucoup de coups de cœurs. Dès fois on a l’occasion d’aller voir les spectacles et de se rendre compte des choses. Là, on a dégoté récemment un très joli spectacle – moi je l’ai pas vu, tu vois… Mais la plupart des autres fois on n’a pas eu l’occasion. Que ça soit les clowns, la première fois où on les a programmés on ne les avait pas vus ; que ce soit des chanteurs… si, il y a deux groupes quand même qu’on avait vu. Mais c’est des coups de cœurs, on n’a pas besoin de voir non plus tout le spectacle…
D’accord, mais là tu me dis « on » : il y a bien un moment donné où vous devez signer un contrat, un chèque… prendre une décision, aller dans une direction… Mais le « on », est-ce que c’est toujours la même personne ?
Noël : Non. On essaye de faire passer l’information. Dès fois on reçoit des choses par mail, sur la boite officielle du théâtre, donc ça tourne tout de suite sur les quatre ordinateurs de chacun. Quand on a un contact, on en parle ensemble tous les quatre. On essaye de tenir au courant et… ne serait-ce que le fait de raconter aux autres ce qui vient de se passer, dès fois ça clarifie beaucoup les choses, ça pose les choses. Donc c’est déjà une première étape et après au moins les quatre sont au courant. Celui qui transmet se fait soit l’avocat dans le bon sens soit dans le mauvais sens de la personne qu’il vient de voir, et les autres peuvent avoir un regard critique. C’est pratique aussi parfois parce qu’il y en a qui vont dire oui facilement… Et puis c’est important qu’il y ait l’homogénéité du bureau, et puis c’est une passion commune donc il faut aussi que ça reste quelque chose de commun, au niveau des rencontres en ce qui concerne l’association…
Donc ça fonctionne vraiment de façon associative.
Noël : Il n’y a pas de réunion formelle mais on se voit tout le temps…
Comment cela se passe lorsqu’une compagnie prend possession des lieux ? Comment s’y adapte-t-elle ?
Noël : Quand on rencontre des gens qui sont intéressés par "passer à l’IMPASSE" (c’est joli !), moi je leur dis : venez voir ; et généralement c’est ce qu’ils font. A six heures, quand je t’attendais [ la vache ! C’est vrai, j’étais en retard ! ], j’ai eu un coup de téléphone d’un musicos, qui est auteur de chansons, et qui est intéressé. Je lui dis : bien, écoutez, venez voir, et puis après on en reparle – il doit arriver. C’est la première chose. Donc après ils découvrent le plateau. Il y en a déjà qui sont repartis en disant : il n’est pas suffisamment grand, ce qui est complètement concevable… Si les locaux leurs conviennent, si les lumières leurs conviennent…
La hauteur sous plafond, la superficie, la régie et la sono…
Noël : Et donc après quand ils reviennent pour s’installer, généralement ils tombent pas dans un endroit inconnu : ils ont déjà vu… D’autant que l’accès au théâtre est facile. Donc ça se passe simplement.
Je pensais qu’il y avait des difficultés particulières à adapter un spectacle à un lieu, par exemple comme celui là parce qu’il est en disposé en longueur.
Noël : Tu parles du côté artistique ?
Oui, chaque compagnie qui prépare un spectacle le fait dans un local en particulier, elle doit ensuite l’adapter aux autres lieux qui l’accueilleront.
Noël : Évidemment, évidemment de partout ils ont la charge de s’adapter à l’endroit, vu les entrées de rideau qu’il y a, vu l’avant-scène ; par exemple, ça peut-être aussi une mise en scène qu’ils refont…
Mais jusqu’à présent ça s’est toujours bien passé ?
Noël : Jusqu’à présent ça s’est toujours bien passé. On a déjà modulé le théâtre pour s’adapter au spectacle. En enlevant les rideaux, en changeant les ouvertures… ça c’est clair mais ça fait partie de l’accueil… leur mettre après les lumières telles qu’ils les veulent etc. c’est comme dans tous les théâtres.
Accueillez-vous, de fait, principalement des troupes qui sont du département ou bien est-ce que la plupart viennent d’ailleurs ?
Noël : Pour l’instant, on fait dans le local ! C’est le bouche à oreille qui nous permet d’entrer en contact avec les troupes locales. Exception : nous avons accueillis Luc BRIAN en janvier (le « Brel »), qui venait d’avignon. Et nous devons travailler avec son association « Isé Chansons » [pour voir leur site, cliquez ICI ] en faisant des échanges : il est prof de chant et d’expression scénique et nous devrions accueillir certains de ses élèves. De même, nous devrions organiser des stages de chant et tu verras sur le site que les intervenants sont des pointures.
Dans la jeune histoire du théâtre de l’IMPASSE, as-tu déjà des bons et même des mauvais souvenirs ?
Noël : Des souvenirs bons, mmmh… Moi c’est surtout les souvenirs des gens. Le premier flash, c’est par exemple pour le 31 décembre, c’était de voir toute la salle… C’était beau ! Tous les gens, tous les messieurs avaient la cravate, le nœud-pap, la veste ; les dames étaient bien coiffées, de beaux vêtements, il y en avait même qui étaient avec des boas… Et puis tous avec leur verre de champagne. Et quand ils sortent tout ce qu’ils te disent : « on a passé une super soirée ! Merci ! C’était génial ! » Alors tu te dis bon : c’est vrai que le prix, tous les théâtres le font, il est plus élevé pour cette séance [ de 9 à 16 €uros en moyenne pour un tarif ordinaire, les théâtres pratiquent généralement le soir de la saint Sylvestre un tarif unique de 30 €uros, incluant souvent un accueil au champagne NdR ], donc qu’est-ce qu’elle a de plus particulier ? Mais non, il y avait une atmosphère. C’est là justement où on en revient à ce que tu disais : dès fois on est serré dans les théâtres, on se dit pourvu qu’on soit bons parce que sinon ils vont râler pour le prix. Et ici c’était un peu la même chose, et de voir tous ces gens… mais vraiment ça m’a fait une émotion quoi. Je me suis décarcassé, ON s’est décarcassés, on a donné tout ce qu’on pouvait mais le résultat il est là quoi.
Par contre as-tu eu des déceptions, des galères et des mauvais souvenir ?
Noël : …
Si tu n’en as pas tant mieux !
Noël : Tu sais , on attend pas grand chose forcément de ceux dont on pourrait espérer… Donc, non, pas de déception… C’est pour ça qu’il y a toujours cette idée aussi de coup de cœur qui me paraît importante. Parce que t’es pas triste en fait. C’est plutôt des coups de cœurs avec les gens, avec des choses que représente le théâtre de l’IMPASSE plutôt que des déceptions. Ou alors il y en a eu, mais on les tourne, on les oublie tellement vite que je ne m’en souviens même plus, quoi… C’est humide ! Ça c’est une grosse déception. Mais vu le prix du loyer de toute façon il ne fallait pas non plus s’attendre à…
Mais ça ne se sent pas et ça ne se voit pas ! On ne s’en rend pas compte.
Noël : Tu vois ! Donc, tout de suite : c’est une déception, c’est humide, mais on la tourne dans le bon sens : ça ne se sent plus !
Votre regard sur l’univers du spectacle a-t-il changé depuis que vous avez ouvert l’IMPASSE ?
Noël : On avait déjà eu une petite expérience à Antibes, au PYGMALION. Mais, non, est-ce que ça a changé ? Non…
C’est un peu comme le spectateur qui monterait sur scène, il pourrait se dire : « je suis de l’autre côté ». Mais celui qui fait son spectacle, il est accueilli dans un lieu, et là, vous passez à nouveau de l’autre côté, c’est vous qui accueillez.
Noël : Mais c’est vrai que peut-être la première expérience à Antibes nous a bien servis pour l’IMPASSE, donc le côté matériel des choses. Et par contre notre expérience dans l’association CÉLIANDRE qui date quand même de 1997, qui a l’habitude d’organiser des manifestations, qui a l’habitude de créer des spectacles…
Vous n’étiez déjà plus des novices en la matière.
Noël : Non. Enfin, c’est plutôt le côté "une troupe, une compagnie, une association a enfin un lieu où elle va pouvoir s’épanouir". Donc on était habitué à ce côté "coulisse" des choses. Puis donc le fait d’avoir notre lieu, non, ça nous a pas perturbé par rapport au monde du spectacle.
Merci à toi, Noël, de m’avoir répondu.
Les coordonnées de l’IMPASSE-THÉÂTRE sont :
Rue de la Tour (dans le Vieux Nice, place de la Tour, près de la rue Pairolière)
Tél. 04 93 92 66 25 ou 06 70 62 19 34
Pour visiter leur site, cliquez ICI
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Pour récompenser ceux qui ont lu cette note jusqu’à son terme, voici la réponse à la question posée ici il y a dix jours :
qui a dit : « L'acteur doit se vider de lui-même, c'est son premier travail, et le plus important. » Il s’agissait de Louis JOUVET. Devant le nombre impressionnant de réponses (zéro, car je ne compte pas celle de Claudiogene, que je préfère ne pas révéler…), je suis donc encouragé à continuer dans cette voie.
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